One-Punch Man

Titre : One-Punch Man
Titre japonais: ワンパンマン
Auteurs : One / Yusuke Murata
Traducteur : Frédéric Malet
Editeur : Kurokawa
Genre : Shonen
Nombre de volumes : 9

Résumé :
Saitama est un jeune homme sans emploi et sans réelle perspective d’avenir, jusqu’au jour où il décide de prendre sa vie en main. Son nouvel objectif : devenir un super-héros. Il s’entraîne alors sans relâche pendant trois ans et devient si puissant qu’il est capable d’éliminer ses adversaires d’un seul coup de poing. On le surnomme désormais One-Punch Man. Mais rapidement, l’euphorie du succès cède place à l’ennui, car lorsqu’on est si fort, les victoires perdent de leur saveur…

Commentaire du Premier Jury :
One-Punch Man est une œuvre magistrale. Mise en scène au dynamisme inépuisable, intelligence du character-design, humour irrésistible… Toutefois, à notre humble avis l’essentiel est ailleurs. En appuyant son manga sur la pop-culture des années 1980 – le shônen d’action-aventure et le tokusatsu – Yûsuke Murata jette un pont entre deux époques, deux générations de lecteurs. One-Punch Man devient ainsi un terrain d’échanges et de réflexion, au sujet de cette pop-culture et de son évolution ces quarante dernières années.  Quant au travail de traduction, il évite le piège du « trop », répercutant là où il faut l’humour parodique et les jeux de mots, utilisant ailleurs une langue simple, vive et teintée d’oralité.
Laurent Lefebvre (rédacteur, Coyote Mag)

Commentaire du traducteur :
Lorsque j’ai commencé la traduction de One-Punch Man, je me demandais si j’allais réussir à restituer tout le fun de ce manga, dont je suis avant tout, moi aussi, un lecteur. Car la principale difficulté consiste à retranscrire l’humour présent dans les innombrables jeux de mots et dans le parler des personnages. À ce propos, il faut aussi saluer l’éditorial de Kurokawa et l’équipe d’ADN avec qui nous mettons régulièrement nos idées en commun. J’espère que les lecteurs prennent autant de plaisir à lire ce manga que j’en prends à le traduire, et si je réussis à les faire rire, c’est encore mieux !
Frédéric Malet